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Pour ceux qui le veulent:
Des Protocoles des sages de Sion au 11 septembre
Ce qu’on appelle l’histoire n’est que fable convenue. Les acteurs réels sont rarement ceux qu’on pense et trop souvent de pures faussetés sont prises pour des vérités. Cet essai brosse un portrait général de l’histoire et du modus operandi du nouvel ordre mondial, suivant les Protocoles des Sages de Sion. Nous examinerons comment les grands financiers, le communisme, le nazisme, le sionisme et le 11 septembre concourent à l’affermissement de cet ordre mondial antéchristique, et comment le judaïsme antichrétien a été instrumentalisé à cette fin.
Des révolutionnaires « illuminés »
En 1802, les Francs-maçons fourmillaient déjà d’agents Jésuites lorsque les hauts lieux Francs-maçons et Jésuites se sont alliés. Avant cette date, les Jésuites étaient si farouchement opposés aux Francs-maçons qu’ils les ont fait excommunier par le Pape en 1738. La revanche des Francs-maçons fit dissoudre l’Ordre Jésuite par un décret papal en 1773. C’était trois ans avant la fondation des Illuminés de Bavière, une société secrète révolutionnaire jésuite-maçonnique, par Adam Weishaupt, un Juif chassé de l’Ordre Jésuite. Leur manifeste révèle clairement leur objectif : la destruction des religions et des gouvernements en vue d’établir leur domination mondiale. Ils ont orchestré la Révolution française et les grandes révolutions à travers le monde, planifié et provoqué les grandes guerres mondiales, assassiné des souverains et des chefs d’État, tels Lincoln et Kennedy (les seuls présidents à avoir tenté de libérer les États-Unis des banquiers). L’Illuminisme devint ensuite le Communisme révolutionnaire, le Sionisme révolutionnaire, et le nouvel ordre mondial internationaliste qui dissoudra les frontières des nations au sein d’un gouvernement mondial - instrument des Sionistes internationaux.
Les grands financiers internationaux et l’expérience socialiste en Europe de l’est
C’est un fait connu que Le Capital de Karl Marx était le livre de chevet des plus grands financiers au tournant du vingtième siècle. Il a par ailleurs été démontré par le respecté chercheur de l’Université Stanford Antony Sutton en 1974 que les fonds de la Révolution venaient de ces grands financiers de l’Ouest, notamment les Rockefeller, la firme J.P. Morgan et Kuhn Loeb & Co., deux façades de la famille juive Ashkénaze Rothschild (voir note 1). Sous l’autorité des rabbins talmudiques, les Juifs de Russie étaient dialectiquement divisés entre le sionisme (le rêve d’un État-nation juif) et le communisme internationaliste. À l’instar du sionisme, le bolchevisme puisait sa force dans le désir des Juifs de participer à la réalisation de leur règne messianique ‘de libération et de justice’, utopie que Marx (un Juif nommé Lévy) a reprise de façon matérialiste. Les bolcheviks, Lénine, Trotsky (un Newyorkais nommé Bronstein) et Staline, étaient Juifs. Grâce à la Première guerre mondiale, les internationalistes obtinrent la Société des Nations, et les sionistes obtinrent l’occupation coloniale britannique de la Palestine.
Dès le départ, le communisme était la créature des grands financiers par laquelle ils concentreraient tout entre les mains de l’État, dont ils tirent les ficelles. Ceux qui promeuvent des idéaux socialistes ne se doutent pas qu’ils servent en fait les grands financiers, car en fait, la socialisation des moyens de production, la concentration des pouvoirs entre les mains de l'État, l'impôt progressif, les banques centrales et la banque mondiale, mènent au communisme.
Hitler aussi était financé par des groupes financiers des Rothschild (Rockefeller, Harriman, Warburg, Ford, General Electric, Standard Oil), révèle Sutton en 1976. Hitler disait ne pas croire un mot de sa propagande anti-communiste mais qu’elle était nécessaire pour obtenir l’appui des Allemands. En somme, les grands financiers de l’Ouest ont instigué les trois grandes formes de socialisme : le bolchevisme, le national-socialisme et le New Deal de F. D. Roosevelt (Juif).
« Permettez-moi d’émettre l’argent d’une nation et je me moque de qui fait les lois »
--Mayer Amschel Rothschild, 1828.
Aujourd’hui, l’Euro est imprimé exactement au même endroit où Rothschild a initié son empire monétaire, à Francfort en Allemagne. Ce sont les groupes financiers des Rothschild qui ont établi la banque centrale américaine, la Federal Reserve (qui en réalité n’est pas fédérale mais possédée par des intérêts privés!), le Council on Foreign Relations (une initiative de David Rockefeller), la Commission Trilatérale, les Bilderbergers, les accords internationaux tels que le GATT, l’ALENA et la ZLÉA, l’Union européenne, et l’Union nord-américaine à venir. Les organisations internationales telles que le Fond monétaire international (FMI), la Banque mondiale, le Club de Rome, le Royal Institute of International Affairs, ont été fondés dans la foulée de la Table ronde, par les initiatives de riches idéalistes à la fin du dix-neuvième siècle, au Royaume-Uni. C’est entouré de Lord Alfred Milner, Nathan Rothschild, Lord Esher (conseiller de la reine Victoria), Arthur James Balfour (qui signa La Déclaration Balfour de 1917, adressée à Lord W. Rothschild pour l’établissement d’un foyer national juif en Palestine), que Cecil Rhodes fonda la Table ronde. Il trouva ses plus fidèles partenaires en Lord Alfred Milner et Averell Harriman père et fils, tous trois Skull and Bones (2) . Des dires de Rhodes, l’organisation de la Table ronde s’inspire de l’Ordre des Jésuites et de la Franc-maçonnerie, pour servir ‘la mission du Saint Empire britannique’. Dans certains milieux calvinistes anglo-saxons, l’origine étymologique du terme ‘british’ indique que les Anglais descendent du Peuple de l’Alliance (B’rith - alliance, et ish - homme ou peuple). C’est ainsi que le flambeau du Saint Empire passa aux États-Unis en 1919, après que la puissante fédération du ‘British-Israël’ ait établi que les Anglo-Américains sont une ‘tribu perdue Israélite’.
Averell Harriman était l’un de ces diplomates internationalistes qui passait des documents secrets entre Londres et Moscou. Après la chute du Mur, Harriman se mit à chercher un candidat démocrate devant succéder à la présidence de Bush père. En William (Bill) Clinton (Juif), récipiendaire du Rhodes Scholarship Award, il trouva un ardent missionnaire de l’impérialisme américain. Au cours de sa présidence, Clinton a dit qu’il irait se battre et mourir pour Israël.
L’initiation des loges de l’Ouest
Les individus qui se hissent jusqu’aux postes les plus importants n’y arrivent pas nécessairement grâce à leurs talents, mais par une certaine prédisposition de leur subconscient à recevoir des inspirations démoniaques, prédisposition exacerbée par leur initiation dans les confréries secrètes de l’Ouest. Les rites cérémoniels des cercles les plus élevés de la franc-maçonnerie, du bolchevisme et du nazisme agissent jusque dans le subconscient des individus, de manière à ce que les dirigeants soient influencés par des entités qui stimulent la ruse, faisant de lui un parfait machiavel, prompt à la corruption, voire même à ordonner de sang-froid des massacres, ou à livrer des populations en esclaves à des grandes compagnies. Ces initiations préparent nos dirigeants à tout sacrifier au nom d’un nouvel ordre mondial qui doit faire de la planète entière un véritable camp de travail au service de Big Brother. Par conséquent, le monde intériorise une sorte de darwinisme social qui normalise le comportement de type « prédateur ».
La deuxième guerre mondiale et l’Holocauste
Le nazisme est une créature des Sionistes qui ont initié le boycott des produits allemands et « déclaré la guerre » à l’Allemagne en première page du New York Times en 1933 (note 3), d’une part pour provoquer la colère contre les Juifs, et d’autre part pour les inciter à quitter l'Europe et fonder un État Juif. Les Allemands du Troisième Reich ont souhaité « une solution finale territoriale de la question juive », un « Accord de Transfert », et non pas une quelconque suppression physique. Des millions de Juifs ont quitté l'Europe avant et pendant la deuxième Guerre mondiale. Les milliers de Juifs qui ont été maltraités sont ceux qui ont décidé de rester Allemagne, n’étant pas intéressés par le projet sioniste. Les Sionistes voulaient que ces Juifs-là soient éliminés, puisqu'ils nuisaient à leur cause. Puisque seuls les Alliés ont accepté de concéder la Palestine aux Sionistes, ces derniers ont retiré leur appui au IIIe Reich.
Les deux guerres mondiales se sont soldées par la destruction et le blâme injuste de l’Allemagne; il semble que ç’ait été le but recherché. Lors de cette farce cruelle, cette parodie de procès que fut Nuremberg, l’Allemagne vaincue a été jugée par les vainqueurs Alliés, calomniée, forcée de confesser des crimes jamais commis et empêchée de se défendre et de rappeler les crimes commis contre elle (tel que la tuerie de millions d’Allemands après la guerre à Dresde et dans les camps de la mort du président Juif Eisenhower). Ce serait en grande partie les Soviets (Sionistes) qui seraient les premiers responsables de la propagande de "l'Holocauste de 6 millions de Juifs" (note 4), cachant ainsi leur propre génocide de 66 millions de Russes chrétiens dans les goulags. Les révisionnistes qui, comme Robert Faurisson et Ernest Zundel, remettent en question l’ampleur ou l’existence même de la Shoah, sont lourdement persécutés par la justice, car sans le mythe de l’Holocauste, l’État d’Israël se trouve sans défense et le Sionisme perd sa raison d’être. Sans Holocauste, l’appui international nécessaire à la création de l’ONU et d’Israël aurait fait défaut.
Derrière la tragédie du 11 septembre 2001 : les États-Unis et Israël?
L’histoire officielle révèle que les nazis ont eux-mêmes fait brûler leur parlement (Reichstag), tout en blâmant les communistes. De la même façon, des éléments criminels du gouvernement américain sont incontestablement complices des attentats du 11 septembre (5). Le Reichstag et le 11 septembre sont des exemples d’opérations ‘False flag’, où la responsabilité d’une attaque est faussement attribuée à l’ennemi, afin d’en tirer avantage. La version officielle du 11 septembre diabolise les Arabes et justifie l’appui américain à Israël. Or, l’implication d’Israël et des Sionistes dans le terrorisme international, le 11 septembre et son « cover up » dans les médias et les gouvernements, est systématiquement occultée par les soi-disant « chercheurs de Vérité ».
Aux États-Unis, un réseau d’agents du Mossad qui se faisaient passer pour des étudiants en Arts a été démasqué. Des chercheurs indépendants ont par la suite démontré le rôle du Mossad, du MI6 et de la CIA dans la construction du mythe d’Al Qaida et dans les attaques revendiquées par le Hamas ou le Fatah en Palestine. Des compagnies de déménagement et de messagerie instantanée (Odigo, Comverse), serviraient de couverture aux activités d’espionnage du Mossad. Quelques jours avant l'attaque du 11 septembre, Mohamed Atta et plusieurs autres présumés pirates de l'air ont été invités sur les bateaux-casinos du sioniste Jack Abramoff, du lobby juif AIPAC. Comment expliquer que les vendeurs d’une compagnie itinérante du Mossad aient logé à Hollywood en Floride, à un coin de rue de l’appartement de Mohammed Atta et de la supposée cellule terroriste d’al Qaida? Comment expliquer que des pilotes aussi médiocres exécutent de telles prouesses aériennes? Comment expliquer aussi que sept des prétendus terroristes soient toujours en vie? Comme Ben Laden, Atta clame son innocence et soutient qu’il s’agit d’un vol d’identité. Le FBI dit la même chose lorsqu’il relâche des présumés terroristes.
Le jour des attentats, cinq Israéliens, sautant de joie à la vue de l’effondrement des deux tours, ont été interceptés. Des passeports israéliens et des habits musulmans ont été trouvés à bord de leur camion de déménagement. Au même moment, d’autres Israéliens sont arrêtés en train de filmer les attentats. Ils prétendirent avoir été envoyés là pour « documenter l’événement », ce qui implique une connaissance préalable. Une centaine d’Israéliens ont été arrêtés en sol américain, interrogés puis relâchés grâce au Juif sioniste Israélo-Américain Michael Chertoff (Department of Homeland Security) avant et après le 11 septembre, mais le sujet est classé ‘secret défense’.
Ce que révèlent l’effondrement des trois tours du WTC et l’attaque du Pentagone
Les tours du World Trade Center (WTC) ont-elles pu s’effondrer sous la chaleur du carburant inflammable? Non. Les puissantes explosions ne sont en aucun cas redevables au carburant, car celui-ci avait cessé de brûler depuis longtemps. Des photos montrent des survivants dans les cavités creusées par les avions, or comment auraient-ils pu se tenir là si, comme le veut la thèse officielle, la chaleur du feu était suffisamment intense pour faire fondre la structure en acier?
Les images vidéo des effondrements montrent les explosions synchronisées qui ont causé l’effondrement des deux tours à la vitesse de chute libre. D’autres images montrent du métal en fusion s’écoulant par le côté d’une des tours. Six jours plus tard, on trouva du métal en fusion sous les décombres. Le professeur Steven E. Jones a découvert que sa composition chimique présente des traces de thermite de fer, un puissant explosif pouvant atteindre des températures assez élevées pour couper l’acier comme du beurre. Autre indice d’une démolition contrôlée : l’effondrement a créé un nuage ‘pyroclastique’ de poussière. Or pour installer les explosifs dans ces tours, il faut avoir déjoué la sécurité pendant une semaine au moins. Par un curieux hasard, la sécurité du WTC était assurée par la société Securacom de Marvin Bush, le frère du président.
Fait peu connu, de petits incendies ont été observés dans un troisième bâtiment, la tour 7 du WTC, avant que celui-ci s’écroule subitement sans raison apparente en fin d’après-midi. Le propriétaire du WTC, Larry Silverstein, un riche Juif proche du magnat médiatique Rupert Murdoch (Mordecaï, Juif) et des sionistes Sharon et Netanyahu, récoltera 4,68 milliards de dollars des assurances suite aux attentats. Il a admis, lors d’une entrevue accordée à PBS, avoir donné l’ordre de faire démolir (‘pull it’) la tour 7. En jargon technique, ‘to pull’ signifie ‘démolition contrôlée’. Selon Eric Hufschmid, la tour 7 a servi de centre de commande.
Et le vol 93? Pas le moindre petit débris de cet avion n’a été retrouvé : qu’un gigantesque cratère, vraisemblablement créé par un quelconque missile. Et les appels des passagers du vol 93? Statistiquement, les chances qu’un téléphone cellulaire fonctionne à plus d’une dizaine de kilomètres d’altitude sont infimes. Toute l’histoire des vaillants passagers luttant contre les terroristes ne repose que sur ces appels dont l’authenticité est plus que douteuse En revanche, des Juifs et des hauts placés du WTC ont reçu un appel (la plupart par messagerie Odigo) leur disant de ne pas se rendre au travail ce matin-là. Ce fait a été ignoré par la commission d’enquête.
Le FBI garde toujours jalousement les bandes vidéo des caméras de surveillance des commerces voisins du Pentagone. Les quelques images révélées dans les médias permettent-elles de discerner le vol 77 (un Boeing 757), percuter le Pentagone? On voit plutôt une traînée de fumée, identique à celle d’un missile, raser le sol, percuter le côté du bâtiment et exploser dans un flash. Par chance (?), l’aile touchée était presque vide, en rénovation. Le trou est minuscule, il n’y a aucune égratignure sur le gazon et les seuls débris trouvés sont des petits fragments de tôle légère ainsi qu’un minuscule réacteur. Les chiens n’ont flairé aucun reste humain. Une chose est certaine : aucun Boeing ne s’est écrasé sur le Pentagone. L’hypothèse la plus vraisemblable concorde avec les descriptions de nombreux témoins: il ne peut s’agir que d’un missile ou d’un drone militaire téléguidé, peint aux couleurs d’un avion de ligne. Qu’est-il arrivé au vol 77? Le Pentagone est sans conteste le bâtiment le plus protégé d’Amérique du Nord. Si les procédures normales avaient été suivies, les chasseurs de la défense aérienne auraient intercepté et abattu tous les avions détournés. L’enquête révèle que le NORAD n’est pas intervenu parce que des les ordres, remontant jusqu’au vice-président Dick Cheney, insistaient pour dire qu’il ne s’agit que d’un exercice. Dans le cas du WTC, des chasseurs ont fini par prendre en chasse le second avion mais à très faible vitesse et en direction opposée, en pleine mer!
Le terrorisme sioniste montre la tête
Ce n’est pas la première fois que des Israéliens ont été pris mettant en scène des attaques terroristes pour porter le blâme sur les Arabes : citons les attentats au King David Hotel en 1946, contre l’Égypte en 1954, et contre le navire américain USS Liberty en 1967. Le mouvement terroriste juif sioniste, l’Irgun, a été fondé par Menachem Begin du courant révisionniste de Jabotinsky, un fasciste admirateur de Mussolini et fondateur du Bétar la milice de défense juive. Suite au massacre de centaines d’Arabes à Der Yassin par l’Irgun et Stern en avril 1948 qui finalisa la partition de la Palestine et inaugura la fondation d’Israël (le premier État à être reconnu sans frontière fixe), Begin dit : « on a créé le terrorisme chez les Arabes ». L’Irgun s’est transformé en parti politique de droite : le Likud. L’ex-premier ministre et chef du Likud Benjamin Netanyahu, est le fils de l’ex-secrétaire de Begin. Netanyahu fut remplacé en 2002 par Ariel Sharon, ardent sioniste qui mettra en application l’idée du Mur de Fer de Jabotinsky. En 1986, Netanyahu a écrit l'ouvrage "Terrorism: How the West Can Win", dans lequel il prédit la guerre au terrorisme en Irak et en Afghanistan et appelle l’Occident à combattre les ennemis d'Israël, les Palestiniens et les Arabes, qui ne sont pour lui que des terroristes. Netanyahu a déclaré que le 11 septembre est « très bon pour les relations entre les États-Unis et Israël ». Une autre incroyable prémonition est celle des trois Juifs sionistes Ashton B. Carter, John M. Deutch, Philip D. Zelikow qui ont co-écrit un article paru en 1998 dans Foreign Affairs intitulé "The Catastrophic Terrorism: Imagining the Transforming Event" :
« Un tel acte de terrorisme catastrophique serait un événement de ligne de partage dans l'histoire américaine. Il pourrait impliquer la perte de la vie et de propriété sans précédent en temps de paix et miner le sens fondamental de sécurité de l'Amérique. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre passé et notre futur en un avant et un après. »
Ce plan est la copie exacte du Plan for A New American Century (PNAC), qui souhaitait un « nouveau Pearl Harbor » pour catalyser l’expansion hégémonique américaine. Il a été conçu par les néoconservateurs, presque tous Juifs Sionistes : Paul Wolfowitz, Dick Cheney, Donald Rumsfeld (tous les trois ont servi sous les administrations Reagan et Bush père), le rabbin Dov Zakheim (6), Lewis ‘Scooter’ Libby, Eliot Cohen, Jeb Bush, Richard Perle (7) , Daniel Pipes (fils de Richard Pipes l’anticommuniste), Francis Fukuyama (idéologue de la Fin de l’Histoire), Robert Zoellick (nouveau président de la Banque mondiale), etc.
Qui sont les auteurs de ce document prophétique? Carter est à la tête de MITRE corp., une importante organisation israélienne de contractants pour la Défense américaine, dont les systèmes de communication et de commande ont clairement échoués lors des attentats du 11 septembre, un fait qui mérite d’être étudié. John M. Deutch est un associé principal de GTP, une filiale de Rothschild en Amérique du Nord, dans l’achat de technologie militaire. Le grand-père maternel de John Deutch, Yonah Fischer, était Sioniste et un proche ami du premier président d'Israël, Chaim Weizmann. Philip David Zelikow a été directeur exécutif de la Commission du 11 septembre, une parodie d’enquête et une entreprise de blanchiment du gouvernement, et fut aussi membre du groupe d'étude qui a feint d’étudier ce désastre honteux qu’est la guerre en Irak.
Dans ce même numéro se trouve un article de Daniel Pipes sur Ben Laden « License to Kill ». Cet ancien propagandiste anticommuniste a popularisé le mythe islamophobe du « terrorisme djihadique international », proclamant que « tous les musulmans ne sont pas terroristes mais tous les terroristes sont musulmans ». Il qualifie l’antisionisme de « théorie proche-orientale du complot » et l’identifie à un « nouvel antisémitisme ». Il a conçu la stratégie militaire contre le Liban et la Syrie en 2000 au nom des sionistes chrétiens et des néoconservateurs, et il est devenu le plus influent commentateur du conflit au Moyen-Orient.
Le faux entrechoquement des civilisations et le sionisme chrétien
Selon le courant sioniste chrétien appelé dispensationaliste, qui représente plus de 60 millions d’évangéliques Américains, l’antéchrist va signer un traité de paix de sept ans avec Israël et rebâtir le Temple. Mais dès que les Juifs auront été réunis en Israël, il les détruira dans un Armageddon nucléaire et c’est à ce moment que le Christ reviendra. C’est dans cette optique que ces chrétiens favorisent le retour des Juifs en Israël, car pour eux la fondation de l’État d’Israël est la réalisation d’une prophétie. C’est la raison principale pour laquelle les médias rivent leur attention sur le Moyen-Orient (où se situe justement la fameuse vallée de Meggido, d’où origine le terme Armageddon désignant le combat final entre le Bien et le Mal) et pas seulement à cause du conflit israélo-palestinien ou du pétrole. Le monde bipolaire du ‘Clash des civilisations’, opposant l’Occident à un ‘Axe du Mal’ ‘anti-démocratique’ musulman ou communiste, est le cadre de référence géopolitique des sionistes chrétiens de la Maison Blanche orchestrant cette campagne de peur eschatologique. Menaçant d’éclater en conflit nucléaire opposant l’axe Etats-Unis-Israël et l’Iran, l’escalade des tensions entre ‘l’Ouest et le Reste’ enthousiasme les sionistes chrétiens qui voient venir l’Armageddon, et donc leur Messie. Or l’ennemi réel des États-Unis est la superpuissance économique mondiale, la Chine. En effet, les États-Unis considèrent toute rivalité hégémonique comme une déclaration de guerre. Et si la Chine est déterminée à adopter l’« American Way of Life », elle menace de rallier la Russie, l’Iran et la Corée dans un bloc nationaliste anti-occident et fermement opposé à l’hystérie du prétendu « réchauffement planétaire ». Dans tous les cas, la crise obligera à une refonte mondiale en différents blocs géo-politiques économiques, suivant le modèle Oceania-Eurasia-Estasia prédit par Orwell dans 1984.
La résistance antisioniste diabolisée
L’histoire est remplie d’exemples de manipulations politiques utilisant un faux antagoniste, comme le croque-mitaine Ben Laden et le terrorisme musulman qui ressurgissent lorsque les États-Unis entrent en période électorale. Dans le roman d’anticipation 1984 de George Orwell, même Goldstein le chef de la résistance et ennemi numéro un de Big Brother est en fait une créature secrète de ce dernier. Les supposés « attentats terroristes d’Al Qaida » sont toujours des attentats Sionistes exécutés par les services secrets destinés à diaboliser les Arabes. Les propagandistes de cette nouvelle menace sont les mêmes qui excitaient la paranoïa anti-communiste; dans l'imaginaire collectif, le « terrorisme jihadique international » a tout simplement remplacé la menace du « l’internationale communiste ». En plus de justifier des politiques liberticides, la guerre en Afghanistan, la guerre en Irak et la prochaine guerre contre l’Iran, la guerre au terrorisme a uni les États-Unis et Israël contre les Arabes et l’Islam, légitimant les politiques israéliennes d’apartheid et de génocide des Palestiniens d’une part, et dressant les États-Unis contre les ennemis d’Israël d’autre part. Des voix dissidentes s’élèvent : Jimmy Carter dénonce l’apartheid en Palestine; Chavez et Ahmadinejad soutiennent que le 11 septembre est l’oeuvre du gouvernement, mais Ahmadinejad va plus loin encore en niant la légitimité de l’État d’Israël, à l’instar du judaïsme traditionnel qui s’est toujours farouchement opposé au sionisme. Il a tenu le 10 décembre 2006 une conférence internationale sur l’Holocauste, auquel étaient invités des révisionnistes, mais aussi des rabbins anti-sionistes et des néo-nazis. Il contribue à ce que les médias le dépeignent comme un nouveau Hitler, faisant de l’Iran l’ennemi ultime de l’axe États-Unis-Israël. Ainsi les chefs d’État anglo-américains parlent d’« islamofascisme » et diabolisent le monde musulman, en plus de réclamer le bombardement de l’Iran, suivant la volonté d’Israël. Bientôt, au nom de la lutte contre la haine et l’antisémitisme, un interdit touchera jusqu’à la liberté de pensée elle-même, de sorte que toute critique à l’endroit d’Israël et des Juifs et toute « théorie du complot du 11 septembre » sera jugée comme un crime haineux, au même tire que le déni de l’Holocauste condamné en France par la Loi Gayssot (
. Or, la « lutte contre l’antisémitisme » menée par les groupes juifs et des groupes antiracistes contrôlés par des juifs a plutôt l’effet contraire d’attiser l’antisémitisme.
Sémites et antisémites
Les Juifs ont tort de traiter leurs opposants d'« antisémites », car ils n’ont rien de Sémite. 90% des Juifs d’aujourd’hui sont Ashkénazes, descendants des Khazars Turco-Mongols de Russie qui, au Moyen-âge, se convertirent au judaïsme. Les Juifs qui ont colonisé Israël, leur prétendue terre ancestrale, ont simplement pris un nom de famille hébreu (Sheinerman - Sharon; Yezernitzky – Shamir; Perske – Perez, etc.). Les Palestiniens en revanche sont d’authentiques Sémites. Ainsi, l’« antisémitisme » est la haine des Arabes, comme le démontrent la majorité des Israéliens et des rabbins talmudistes et sionistes qui considèrent les Arabes et les Musulmans, de même que tous les non-Juifs (Goyim), comme des êtres infrahumains, des animaux, une vermine à exterminer (9). Ironiquement, c’est au nom des idéaux « du sang et du sol du Peuple élu » - idéaux explicitement racistes et nationalistes - que l’État juif d’Israël justifie le génocide des Palestiniens – un Holocauste antisémite – de même que l’érection du mur entourant la Palestine tel un véritable camp de concentration. Or, on sait maintenant qu’il n’y a jamais eu de tentative d’exterminer les Juifs. En fait, s’il y a eu une organisation allemande rêvant d’un empire mondial de la race maîtresse et d’exterminer des Sémites, c’était bien la World Zionist Organization.
La Haine anti-Goyim et l’instrumentalisation satanique du judaïsme
Le sionisme est le produit de la tribu de Juda, tribu rejetée par les Israélites, isolée du reste du monde et fondée sur l’inceste, qui transforma la tradition Israélite en un culte suprémaciste et raciste voué à un Dieu jaloux, vengeur et sanguinaire. Les Lévites, chefs spirituels de Juda, proclamèrent dans le Deutéronome que leur race élue de Dieu devait dominer et exterminer les nations. Les autres livres de la Torah ainsi que la tradition orale à l’origine du Talmud et du Zohar (la Kabbale), viennent de Babylone. Le programme de destruction passa alors aux pharisiens, que le Christ traitait de « fils du Diable » (10), puis aux talmudistes d’Espagne, aux rabbins de Russie, jusqu’à l’internationale juive sioniste d’aujourd’hui. Selon le Talmud, le livre Juif considéré comme le plus sacré, seuls les Juifs ont une âme ; les Goyim sont des bestioles rampantes; il faut détruire les nations Goyim; il est permis de frauder, persécuter, voler et mentir à des Goyim; l'usure est interdite sauf avec les Goyim; le meilleur des Goyim doit être tué, surtout s’il est chrétien; les Amaléchites (Arabes et Goyim) sont la race ennemie des Juifs; la pédophilie est acceptée; Jésus brûle dans des excréments en feu en enfer; la vierge Marie est une prostituée qui a couché avec un soldat romain; tous les Goyim sont idolâtres et ce crime est passible de mort; un Juif n’est pas coupable du meurtre d’un Goyim s’il le fait faire par un autre (les pharisiens ont fait cela pour se débarrasser de Jésus Christ), etc. Ils peuvent aussi déclencher des guerres impunément, et comme le disait la mère de Nathan Rothschild : « il n'y aurait aucune guerre dans le monde si mes fils n’en voulaient pas ». L’« âme juive » n’est pas méchante, elle est captive des rabbins talmudiques. Mais le pire est que même les goyim sont sur le point d’être soumis à ces rabbins chauvinistes sionistes internationaux, car Bush (photographié portant une kippa devant le mur des Lamentations!) prône l’adoption au Tribunal de Justice Internationale des « 7 Lois de Noé », que devraient suivre tous les Goyim selon les Juifs!
« la Bible est notre Mandat » -Chaim Weizmann, premier président d’Israël
L'État d'Israël est une parodie matérialiste de la Terre Promise. Les juifs athées sionistes ne voulaient pas attendre le Messie et sa Jérusalem céleste, ils voulaient de l'action politique et un État, une Israël terrestre (Eretz Israel), « troisième royaume de David » selon Ben-Gurion, en plein milieu du Moyen-Orient, puis étendre ses frontières aux limites du prétendu royaume de David, pour établir un Plus Grand Israël d'où ensuite déployer leur nouvel ordre mondial décrit par le PM David Ben-Gurion (LOOK magazine, 1962) :
« À l'exception de l'URSS comme État fédéré Eurasien, tous les continents seront unis dans une alliance mondiale, avec à sa disposition une force de police internationale. Toutes els armées seront abolies, et il n'y aura plus de guerres. À Jérusalem, les Nations Unies (de vraies Nations Unies) érigeront un lie de culte pour les prophètes puor servir l'union fédérée de tous les continents; ce sera la scène de la Cour Suprême mondiale de l'Humanité, qui jugera toutes les controverses dans les continents fédérés, tel que prophétisé par Isaïe. »
Une lettre de Baruch Levy à Karl Marx publiée dans La Revue de Paris (1er Juin 1928, p.574) affirme le caractère messianique du peuple juif et de leur nouvel ordre mondial:
«Le peuple Juif en entier sera lui-même son propre Messie. Il atteindra la domination mondiale par la dissolution des autres races, par l’abolition des frontières, par l’annihilation de la monarchie et par l'établissement d'une république mondiale dans laquelle partout les Juifs exerceront le privilège de citoyenneté. Dans ce Nouvel Ordre Mondial les Enfants d'Israël fourniront les dirigeants sans rencontrer aucune opposition. Les gouvernements des différents peuples formant la république mondiale tomberont sans difficulté entre les mains des Juifs. Il sera alors possible pour les dirigeants juifs d’abolir la propriété privée, et partout de faire usage des ressources de l’État. Ainsi la promesse du Talmud sera accomplie, qui dit que dans les temps messianiques les Juifs auront toutes les propriétés du monde entre leurs mains.»
Au fond, le courant juif sioniste Chabad Lubavitch confirmaient les Juifs dans leur croyance d’être eux-mêmes le « Messie ». La réalisation de l’ère messianique millénaire devenait synonyme de domination juive mondiale. En 1898, au second Congrès sioniste international à Bâle, un sioniste de Russie, le Dr Mandelstamm, déclara :
« Les juifs rejettent énergiquement l’idée de fusion avec les autres nationalités et s’accrochent fermement à leur espoir historique, c’est-à-dire celui de l’empire mondial ».
Le terroriste sioniste Menachem Begin, sixième président d’Israël et Nobel de la Paix renchérit :
« La race juive est la race maîtresse. Nous sommes des dieux sur cette planète. Nous sommes aussi différents des races inférieures qu’elles diffèrent des insectes. En fait, comparé à notre race, les autres sont des bêtes et des animaux; au mieux du bétail. Les autres races sont considérées comme de l’excrément humain. Notre destin est de régner sur les races inférieures. Notre royaume terrestre sera gouverné par nos dirigeants avec un bâton de fer. Les masses nous lécheront les pieds et elles nous serviront comme des esclaves. »
Ayant subit sa « crucifixion » dans la (fausse) Shoah, le peuple Juif devient lui-même le Fils de Dieu sacrifié. Les Sionistes veulent rebâtir le Temple et régner sur les nations à partir de là; dans l'Apocalypse de Jean, l'antéchrist trône à l'intérieur du Temple, se prenant pour Dieu. Faut-il rappeler aux Juifs Sionistes que celui qui place ses propres souffrances au-dessus de celles du Christ, le Dieu fait chair, se substitue ainsi au Christ et devient un Antéchrist! (11)
Le président Woodrow Wilson, le père de la Réserve Fédérale, du traité de Versailles, du plan en 14 points et de la société des Nations, a popularisé le concept d’"autodétermination des peuples", qui nous ramène à l'époque de l’Ancien Testament, à la fuite d’Israël hors d'Égypte, libéré de sa servitude. Le communisme et le sionisme prétendaient apporter "la libération des peuples", mais n’ont apporté que la mort et la destruction de la culture (12), détruisant les espoirs d'avenir en soumettant les peuples à l'esclavage. L'ONU, nouvelle Société des Nations, est un concept issu de l'Ancien Testament: chaque nation s’identifie à un peuple avec sa propre race, sa terre, son Dieu, sa culture fermée qui ne veut pas mourir. Les nazis représentent l'exemple extrême de ces idéaux de la terre et du sang (nationalisme et racisme), or le racisme ‘aryen’ est le reflet du suprémacisme juif.
Les prophétiques Protocoles des Sages de Sion
Inspiré des Dialogues aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu, le document Les Protocoles des Sages de Sion a popularisé la thèse controversée du complot sioniste judéo-maçonnique. Il semblerait que les Protocoles soient le plan de 1897 de la World Zionist Organisation. Le fait qu’il ne soit pas un document authentique n’infirme en rien sa véridicité. En effet, il est consternant de voir ses prophéties se réaliser sous nos yeux et de constater le contrôle des finances mondiales par des Francs-maçons, le pouvoir des sionistes dans la politique mondiale et la création des Unions européennes, nord américaines, etc., le contrôle des médias par des riches et influents Juifs sionistes, la corruption de l’État d’Israël, sans parler du rôle du Mossad dans le terrorisme international. Les Protocoles révèlent le modus operandi du gouvernement mondial sioniste, la « synagogue de Satan ». En ce moment même, les dirigeants mondiaux sont remplacés par des Sionistes de noyau dur, acoquinés à l’AIPAC, partisans de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de celle à venir contre l’Iran. Le nouveau président de la banque mondiale, Robert Zoellick, est un autre néoconservateur juif sioniste, exactement comme son prédécesseur Paul Wolfowitz. Hillary Clinton, la favorite dans la course à la présidence américaine de 2008 apparaît comme une disciple zélée du gourou juif nouvel âge du mouvement Tikkun (‘réparer le monde’) et de son plan visant à ‘féminiser’ l’Amérique et achever la ‘Nouvelle Alliance’. Tout comme son concurrent démocrate Barak Obama, elle est Juive Sioniste, pour la guerre au terrorisme, la guerre en Irak et la guerre contre l’Iran. C’est toutefois Al Gore (13), Sioniste et faux prophète du « réchauffement planétaire », qui, même s’il n’est pas officiellement dans la course, qui demeure le candidat favori au titre de président (et peut-être même d’antéchrist). Quant au nouveau président de la France, Nicolas Sarkozy, il est Juif sioniste, proche de Netanyahu, et il a nommé un militaire israélien comme ministre de l’immigration. Les têtes des gouvernements occidentaux sont tellement judéophiles qu’ils pratiquent même les rituels Chabad Lubavitch sous les feux des projecteurs. Ariel Sharon l’a d’ailleurs dit à la Kol Yisrael radio, peu après le 11 septembre, le 3 octobre 2001: « Israël controls the US Congress, and the Americains know it”.
Le magnat de l’informatique, Bill Gates, est Juif, de même que pratiquement tous les magnats des médias américains (sauf Ted Turner) : Rupert Murdoch (Mordecaï, Juif) à FOX, à la BBC et au Sunday News; Edgar Bronfman Sr. et Jr. à la tête de AOL/Time Warner (et du Congrès Juif Mondial); Jeffrey Zucker à NBC; Stuart Bloomberg, George D. Bodenheimer et David Westin à ABC, Paley à CBS; Zuckerman à US News; les Sulzberger au NY Times; Bradley Alan Grey à Paramount Pictures; Peter Chernin à 20th Century Fox; la famille Kaufman à Columbia Pictures; Barry M. Meyer à Warner Bros; Spielberg à Dreamworks; Sumner Murray Redstone (Rothstein), à VIACOM et MTV et Nickelodeon; Michael D Eisner à Disney Television et Touchstone Television; Martin S. Davis à Warner co; Stacey Snider à Universal pictures; Ron Meyer à Universal Studios, etc. Les maisons d’édition à grand tirage sont dominées par des Juifs. Le contrôle sioniste de l’industrie du divertissement, de Hollywood et de la pornographie leur permet de promouvoir, à grands renforts de publicité, leur agenda de libéralisation des mœurs (mouvements pro-gai, pro-choix, sexualité débridée, etc.), glorifiant la décadence morale, se moquant de Dieu en célébrant l’« humanisme » et le politiquement correct qui déifie l’être humain, etc. Bref, tout ce qui favorise la destruction de la civilisation, des valeurs conservatrices et surtout du christianisme, accélèrerait l’avènement du règne messianique Juif.
La lutte contre l’antisémitisme : instrument des Sionistes
Sous le régime communiste de Lénine et plus tard de Staline, l'antisémitisme était passible d’emprisonnement. Pas étonnant puisque le gouvernement communiste était composé à 95% de Juifs! Sous le régime stalinien, toutefois, les dirigeants Juifs sont passés à l’arrière-scène et ont été remplacés par des Goyim; trop de gens voyaient le communisme comme un « complot juif ». Aux États-Unis, depuis la Première guerre mondiale, tous les groupes antiracistes et de défense des libertés civiles (UCLA) sont contrôlés par des juifs dans le but de protéger les juifs libéraux ou communistes contre les politiques des républicains conservateurs chrétiens Américains.
Depuis 1913, la toute-puissante Ligue anti-diffamation de la B’naï B’rith, équivalent du Mossad aux États-Unis, mène la « lutte contre l’antisémitisme », un peu comme la « lutte contre l’anticommunisme » se poursuivait dans les pays de l’Est: au lieu de débattre, on intimide, on poursuit en justice, on fait taire les gens, on joue sur la mauvaise conscience. Cela fonctionne, pendant un certain temps. Or, utiliser la « lutte contre l’antisémitisme » pour protéger Israël est doublement criminel : d’une part pour les Palestiniens, mais aussi pour les Juifs qui risquent à terme d’être victimes de cette stratégie. En effet, de plus en plus de gens découvrent que les Protocoles se réalisent et se retrouvent à critiquer le suprémacisme Juif exactement comme ces douteuses organisations anti-juives et suprémacistes blanc ou néonazies. Ces organisations sont en fait contrôlés et financés par la Ligue anti-diffamation. Comme disait l’idéologue du sionisme Theodor Herzl : « l’antisémite est le meilleur ami de la cause sioniste ». Les sionistes créent ces organisations racistes blancs et néonazies pour effrayer les Juifs et les Goyim, puis, pour nous en protéger, ils imposent des lois sur le discours haineux. Alors dès qu’on accuse les Sionistes, on nous assimile à ces racistes nazis qui blâment les Juifs pour tout. Il est de plus en plus évident que les lois contre la haine servent en fait à éliminer la résistance au nouvel ordre mondial.
Selon Reed (1956): « La ressemblance entre le schéma des événements actuels (c’est-à-dire la forme prise par l’issue des deux Guerres mondiales) et celui de la chute de Babylone est trop grande pour être accidentelle, et peut en fait maintenant se révéler comme ayant été délibérément créée ». Dans ce plan, les groupes résistants de la droite chrétienne, islamique, ou milice patriote, tous contrôlés par les Sionistes, joueront peut-être le rôle de la Bête qui anéantit la Prostituée.
Mais à quoi cela peut-il servir, à part l’avarice des riches et le « power trip » des puissants ? On ne peut trouver une réponse à cette question que si l’on examine les choses d’un point de vue occulte. Il s’agit tout d’abord de monter les individus et les groupes les uns contre les autres, de sorte qu’une « race de la bête », de psychopathes cruels qui oppriment les autres, émerge de ces perpétuels conflits, et finisse par remplacer les humains vraiment humains. Il se trouve justement que les familles Ashkénazes présentent une proportion faramineuse de rejetons psychopathes. Pour des raisons occultes, il leur faut exterminer les Sémites (les Arabes), corrompre et détruire toutes les nations, en particulier l’Allemagne – première victime et bouc émissaire de deux guerres mondiales, couverte de calomnies, massacrée à Dresde – et la Russie – victime de génocide, surtout des Chrétiens. Tous ces buts servent une seule fin : détruire le christianisme authentique et ruiner toute possibilité de développement futur de l’humanité. Si l’on ne peut rien contre ces plans diaboliques, apprenons au moins à les déceler, à se soustraire à leur fâcheuse influence, car, à l’ère du mensonge, rien n’importe plus que la vérité et la recherche de la vérité.
NOTES
1. Edmond Rothschild finança Israël et offrit son sceau (Red Shield), l’étoile de David, au drapeau.
2. La fraternité de Yale « Skull and Bones » compte parmi ses membres Prescott Bush, son fils George H. W. Bush et son petit fils l’actuel président étasunien George W. Bush. Prescott Bush et Averell Harriman ont fondé deux firmes de Wall Street; parmi les douze partenaires, huit étaient Skull and Bones.
3. Dix mois plus tard, en 1934, Vladimir Jabotinsky écrivait : « Le combat contre l'Allemagne est mené par chaque communauté juive, (…) à chaque congrès, dans tous les syndicats et par chaque juif dans le monde. Nous déclencherons une guerre spirituelle et matérielle du monde entier contre l'Allemagne. L'ambition de l'Allemagne est de redevenir une grande nation (…) Mais nos intérêts juifs exigent la destruction totale de l'Allemagne. Collectivement et individuellement, la nation allemande est un danger pour nous autres juifs. »
4. On se souvient des camps de concentration nazis, mais qui se souvient des goulags soviétiques et des camps pour les Japonais-Américains? Même l’expert mondial Raul Hilberg avoue n’avoir trouvé aucune preuve d’un ordre oral ou écrit d’extermination, ni aucune preuve des chambres à gaz. À toute fin pratique, l'Holocauste était techniquement impossible. Les photos de centaines de cadavres montrent des corps émaciés par la famine et vraisemblablement décédées à cause des épidémies de typhus. Aucune autopsie n'a été pratiquée sur un cadavre de gazé. Les révisionnistes attribuent 100 000 victimes juives sur 150 000 décès à Auschwitz, pour la plupart victimes d'épidémies, surtout du typhus. Les prisonniers des camps étaient à 90% Allemands et contenaient une minorité de Juifs. D’abord on dit que c’étaient les ennemis politiques, puis les ennemis politiques et les Juifs, et enfin que ce n’étaient que les Juifs. Un rapport de guerre rapportant le meurtre de « 150 000 Russes blancs, Ukrainiens et 496 juifs à Kiev » fut transformé en « 150 000 juifs », et ainsi de suite. Selon le professeur Robert Faurisson : « Les prétendues chambres à gaz hitlériennes et le prétendu génocide des juifs forment un seul et même mensonge historique, qui a permis une gigantesque escroquerie politico-financière, dont les principaux bénéficiaires sont l'État d'Israël et le sionisme international et dont les principales victimes sont le peuple allemand - mais non pas ses dirigeants - et le peuple palestinien tout entier ».
5. Le mandat britannique d’occupation de la Palestine entra en vigueur le 11 septembre 1922. Bush père annonçait le nouvel ordre mondial le 11 septembre 1990, et une autre fois en 1991 à la même date. La construction du Pentagone a débuté le 11 septembre 1941, la même année que l’attaque de Pearl Harbour.
6. Le membre du CFR Dov Zakheim était en charge des comptes de la Défense la veille du 11 septembre, lorsque Rumsfeld a annoncé que 2.3 billions de dollars avaient disparus des coffres du Pentagone.
7. Perle ainsi que le vice-président Dick Cheney, membres du CFR et du PNAC, ont même été tour à tour directeur du Jewish Institue for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’AIPAC et partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran.
De Jean-Claude Gayssot, député communiste à la solde du puissant juif socialiste Laurent Fabius.
8. « Nous suivons la Bible », disaient les sionistes pour justifier de génocide des populations autochtones, car ils suivaient les indications du livre de Josué qui extermina au nom de Dieu les peuples Goyim et Amaléchites (Josué VI, 21: « Et ils tuèrent tout se qui s'y rencontra, depuis les hommes jusqu'aux femmes, et depuis les enfants jusqu'aux vieillards »). « Un million d’Arabes ne valent pas un ongle Juif », disait le rabbin Yaacov Perrin en 1994 dans son élégie au héro sioniste Baruch Goldstein, auteur du massacre de 30 Palestiniens à la mosquée de Hebron. Le massacre de Hebron et la déclaration de guerre du Golfe de 1990 ont eu lieu le jour de la fête juive de la victoire, Purim, qui commémore la mise à mort de l’ennemi des Juifs, Haman, et le génocide des Goyim.
9. L’instrumentalisation satanique du judaïsme se reconnaît au récit de Juda vendant son frère Joseph, le fils préféré des Israélites de Jacob, comme Judas trahissant Jésus, pour vingt deniers.
10. L'homme qui se prend pour Dieu devient un dieu bâclé, condamné à errer sans jamais pouvoir mourir. Selon la légende, le Juif Errant fut maudit pour s’être cruellement moqué des souffrances du Christ en croix et perdit alors la faculté de mourir (comme Caïn pour son fratricide). Il personnifie la diaspora, évoquant le repli identitaire et l’auto-déification juive. Le Juif Errant est identifié au roi Perse Ahasuerus, rappelant l’origine dualiste mazdéenne persane de la corruption du judaïsme par Satan-Ahriman.
11. Douglas Reed rapporte que: « le dynamitage des cathédrales russes, l’ouverture des ‘musées anti-Dieu’, la canonisation de Judas et autres actions des premiers gouvernements bolchevistes, qui étaient constitués aux neuf dixième de juifs de l’Est, furent à l’évidence des actes d’observance sous cette ‘loi’ du Deutéronome » exigeant la destruction des nations, ici de la chrétienté russe, en vue de la domination juive mondiale.
12. De son nom Albert Armand Gore, en l’honneur de son ‘parrain’ Armand Hammer, un riche agent soviétique américain proche de la famille Gore. Le logo « Arm And Hammer » vient d’un journal communiste.
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