"Le rapport Cometa - Les OVNI et la DÉFENSE - À quoi doit-on se préparer ?"
Editions du Rocher - 2003
222 pages
Communiqué de presse :
Préfacé par le général de l'armée de l'Air Bernard Norlain, ancien directeur de l'IHEDN (Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale), ce rapport a été élaboré en 3 ans par COMETA, un comité privé composé d'anciens auditeurs de l'IHEDN et d'experts extérieurs. Il est précédé par un préambule du professeur André Lebeau, ancien président du CNES (Centre National d'Etudes Spatiales).
Le rapport paraît en juillet 1999, quelque 20 ans après une première étude sur les OVNI de l'association des anciens auditeurs de l'IHEDN, dont les recommandations avaient été suivies lors de la création au sein du CNES du GEPAN (Groupe d'Etudes des Phénomènes Aériens Non identifiés), devenu par la suite le SEPRA (Service d'Expertise des Phénomènes de Rentrée Atmosphérique).
Le rapport s'ouvre sur la description de quelques cas remarquables français et étrangers, observations bien documentées faites par des témoins crédibles, et inexpliqués. COMETA a auditionné certains de ces témoins, officiers et pilotes. Des cas expliqués, un peu surprenant, sont aussi présentés.
Il décrit ensuite l'organisation de la recherche OVNI en France, centrée sur le GEPAN/SEPRA, qui est lié par des conventions à la Gendarmerie Nationale, l'armée de l'Air, la Direction Générale de l'Aviation Civile, la Météorologie Nationale, certains laboratoires, etc. Certains des représentants de ces organismes ont été auditionnés et, bien entendu, le responsable du SEPRA.
Les méthodes et les résultats du GEPAN/SEPRA sont alors présentés, ainsi que la cohérence des résultats avec ceux obtenus à l'étranger. Les cas aéronautiques français, notamment, font partie d'un ensemble de plus de 500 observations mondiales bien documentées et bien attestées faites d'avion, dont plus du cinquième sont confirmées par radar. Des cas d'observation au sol sont appuyés par des analyses de traces. L'organisation de la recherche aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et en Russie est évoquée.
Le CNES ne possède pas de fragment d'OVNI, mais les analyses de traces au sol et les enregistrements radar, en France et à l'étranger, établissent avec une quasi-certitude la matérialité des OVNI, qui apparaissent souvent comme des engins aux performances stupéfiantes, pilotés, télécommandés ou munis d'intelligence artificielle.
Des scientifiques ont tenté de modéliser la propulsion des OVNI, ainsi que certains de leurs effets sur l'environnement. Le rapport présente aussi les hypothèses globales sur le phénomène OVNI, en s'attachant à celles compatibles avec la science d'aujourd'hui, telles celle d'engin secrets terrestres ou celle, décriée mais qui ne peut être négligée, d'engins d'origine non terrestre.
Cette dernière hypothèses, si elle est exacte, est grosse de conséquences pour la défense au sens large, qui sont analysées dans une dernière partie; l'étude des implications stratégiques, géopolitiques, aéronautiques, scientifiques, techniques, politiques, religieuses et médiatiques de cette hypothèse conduit à d'importantes recommandations.
Quatrième de couverture :
LE RAPPORT COMETA, UN DOCUMENT HISTORIQUE
Pour la première fois, en 1999, des hommes, dont certains ont occupé de très hautes fonctions, ont accepté de cosigner un rapport entièrement consacré au problème des OVNI, jugeant qu'en fonction des connaissances acquises à ce jour, il se posait suffisamment de questions
d'intérêt national pour que ces informations soient portées à la connaissance du chef de l'Etat et du Premier ministre.
Depuis 1947, le sujet dérange, passionne, interpelle. O combien controversée la question a été étudiée avec une grande rigueur et sous de nombreux aspects (scientifique, technique, aéronautique, stratégique, politique, religieux, médiatique) par un comité français, constitué d'ancien auditeurs du très sérieux Institut des hautes études de défense nationale et d'experts qualifiés provenant de tous les horizons, COMETA.
Dans ce rapport, COMETA étudie plusieurs cas d'OVNI inexpliqués, français et étrangers. Très documentées, ces observations sont souvent étayées par des traces au sol ou confirmées par radar. S'agit-il d'engins secrets terrestres ? Dans quelques cas, peut-être. Est-on en présence d'engins d'origine non-terrestre ? Cette hypothèse ne peut être écartée. Si elle se révélait exact, elle serait grosse de conséquences pour la Défense.
L'association COME TA est présidée par Denis Letty, général de l'armée de l Air, AA (35')(*). D'autres auteurs du rapport COME TA sont
Michel Aigrin, docteur d Etat en sciences politiques, avocat à la Cour, AA (35°),
Pierre Bescond, ingénieur général de 1 Armement, 2° section, AA (48°),
Denis Blancher, commissaire principal de la Police nationale au ministère de Intérieur,
Jean Dunglas, docteur-ingénieur, ingénieur général honoraire du Génie rural et des Eaux et forêts, AR (48°),
Bruno Le Moine, général de l'armée de l Air, 2 ° section, AA (41 °),
Françoise Lépine, de la Fondation pour les Etudes de Défense, AA (33),
Christian Marchai, ingénieur en chef des Mines, directeur de recherches à I 'ONERA, Marc Merlo, amiral, 2 ° section, AA (35),
Alain Orszag, docteur ès-sciences physiques, ingénieur général de 1 Armement, 2 ° section.
(*) AA ou AR xx° auditeur de la promotion nationale ou régionale n° xx de l Institut des hautes études de défense nationale.
PARUTION 26 JUIN 2003
IL A ETE JUGE UTILE DE FAIRE UNE NOUVELLE EDITION DE CE DOCUMENT HISTORIQUE : C'EST LA PREMIERE FOIS AU MONDE QU'UN TEXTE TRES ELABORE SUR LE SUJET DES PHENOMENES AERIENS NON IDENTIFIES EST
REDIGE CONJOINTEMENT ET COSIGNE PAR UN COMITE COMPRENANT NOMBRE DE HAUTES PERSONNALITES CIVILES ET MILITAIRES
|