Voici extrait d'une collection de video, trouvée par hasard sur un "réseau de peers", un film de 6 minutes montrant un ovni au dessus d'immeubles. La référence précise Beijing en Chine, 1995. Mais selon Gildas Bourdais, qui est en contact avec Shi Bo l'ufologue chinois, il ne s'agirait peut être pas de cette ville ni de cette année. Si vous avez plus de précisions sur cette video n'hésitez pas à utiliser le cadre en bas de page !
la video : attention 35 Mo
au format divx (10 minutes avec l'adsl), faire "clic droit" puis "enregistrer sous..." ou pour les donkeyers
cliquez ici : ufo-ovni-03-02-95-Beijing-chine-544x400-divx5.avi
(si vous souhaitez proposer cette video sur un forum ou une liste de discussion,
merci de donner le lien vers cette page plutôt que vers la video directement, ceci
pour m'éviter de voir mon compte résilié pour cause de trop nombreux téléchargements.
En effet, beaucoup d'internautes ont déjà vu cette vidéo et s'en souviendront dès
l'affichage des images extraites, sans avoir besoin de télécharger à nouveau le fichier)
Vous pouvez aussi vous procurer le DVD "Ultimate UFO - The Complete Evidence" sur Amazon.
Jean-Guy Amariglio, spécialiste des effets spéciaux, nous donne son opinion sur l'hypothèse du trucage vidéo.
Pour une solution "à l'ancienne", style reflet dans une vitre, ce n'est pas possible. L'objet est trop net, de plus il passe derrière les batiments, ce qui ne serait pas le cas d'un reflet. Je pense pouvoir dire sans prendre trop de risques que ce n'est pas un objet suspendu à un fil non plus pour les mêmes raisons.
Reste un éventuel trucage numérique.
Le problème est déjà la durée du film: 6 minutes. Bien qu'il y ait quelques coupes les plans sont relativement longs. Sur des plans de cette longueur, à un moment ou à un autre, le trucage laisse entrevoir sa vraie nature et là, je n'ai rien vu.
L'objet en lui-même ne pose aucun problème (si on veut le modéliser en 3D, par exemple), mais son incrustation dans ce plan tourné au camescope à main levée est une toute autre paire de manche!
L'objet se déplace lentement, cependant le cadreur bouge beaucoup ; l'objet devra donc être "tracké". Le tracking est une opération qui consiste a créer un lien entre l'élément à incruster et un élément (une portion d'image) de la scène filmée. Ainsi quand cette zone de référence bouge, l'objet que l'on incruste suit. On se sert du contraste dans la portion d'image de référence pour repérer le mouvement de cette zone. Autrement dit, les seuls points de tracking que l'on pourrait utiliser dans ce film sont les zones à cheval d'une part sur les toits et cheminées des bâtiments du premier plan et d'autre part une portion du ciel.
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Ci-dessous le commentaire de cette vidéo par studiovni.ifrance.com (visitez plutot la page de studiovni directement pour avoir les photos) qui correspond parfaitement à ce qu'on peut observer :
La vidéo tournée par un caméraman amateur dure environ 6 minutes. Le caméraman filme, camescope à la main, en mode automatique: Ce qui nous permets de le dire, c'est que lors des zooms-avant, l'image mets du temps à passer du flou au net, ce qui est tout à fait typique d'un film tourné en mode automatique.
La meilleure solution pour éviter les passages flous durant les différents zooms-avant et arrière, aurait été de filmer en mode manuel, et de faire la netteté sur le point le plus éloigné de la caméra. Le film est tourné depuis un appartement situé apparement au 7 ou 8 ème étage d'un immeuble faisant face à un autre batiment.
1- La vidéo nous montre un phénomène lumineux d'abord immobile dans le ciel. On voit nettement qu'un flash de lumière apparait à intervalle régulier vers le haut du phénomène.
2- Le caméraman fait un zoom arrière, ce qui permets de bien situer le phénomène par rapport aux batiments : vers l'arrière des immeubles et non pas au-dessus, et à faible altitude (une centaine de mètres au-dessus du niveau des toits des batiments que l'on peut estimer entre 20 et 25 mètres de hauteur ).
3- le caméraman continue à filmer le phénomène immobile dans le ciel, puis coupe la caméra.
4- le plan suivant, le phénomène est entrain de se déplacer vers la gauche des batiments filmés en premier plan. On voit un court instant le phénomène basculer sur lui même de quelques degrés. Celui-ci se positionne dans le
ciel et reste quelques instants immobile.
5- Le phénomène repart sur la droite des batiments. On le voit passer derrière une antenne filmée en premier plan.
6- Sur cette image on a l'impression que le phénomène passe au devant de l'antenne, mais en fait c'est l'intensité de la lumière émise par le phénomène qui "éfface" légèrement la partie de l'antenne se trouvant devant lui. Le capteur vidéo du camescope "sature" et crée ainsi cet effet optique.
7- Le phénomène passe derrière les batiments et réapparait sur la droite.
8- Le phénomène commence à descendre et disparait derrière les bâtiments. Le film se termine à ce moment là.
Quelles hypothèses ?
L'hypothèse d'un trucage :
Vu la longueur de la vidéo (+de 6 minutes), vu la complexité de la séquence (zooms avant et arrière à plusieurs reprises, "bougés" divers, panoramiques , flous,...etc) , on peut écarter tout de suite l'hypothèse d'une vidéo truquée : Quand on connait le coût de fabrication des effets spéciaux dans l'industrie du cinéma, cette vidéo serait le film truqué le plus élaboré jamais conçu et par conséquent, la plus coûteuse plaisanterie ufologique jamais réalisée. A aucun moment on ne repère la moindre anomalie qui pourrait nous faire suspecter l'authenticité de cette vidéo.
Cette vidéo ne peut en aucun cas être comparée avec la vidéo truquée de Mexico (studiovni/mexico.htm) : la séquence truquée ne dure environ que 45 secondes, il n'y a qu'un zoom-avant effectué dans la séquence, la soucoupe vue de près ne fait pas vraie. L'image est en noir et blanc ( sûrement pour alléger le travail de trucage ). D'ailleurs cette vidéo a été analysée et est considérée comme un faux authentique qui, avouons-le, reste quand même bien réalisé. Mais incomparable avec la vidéo de beijing !
Le phénomène filmé à Beijing est bien réel, aucun trucage utilisé.
L'hypothèse d'un nuage :
Impossible. Avez-vous déjà vu un nuage émettre des flashs de lumière à intervalles réguliers et se déplacer intelligement dans le ciel, à droite, à gauche, basculer sur lui même, s'arrêter, reprendre sont chemin ? Si oui, écrivez-nous...
L'hypothèse d'un dirigeable :
Cela pourrait être l'hypothèse la plus réaliste, mais le problème c'est que l'on ne voit aucun élément de navigation (ailerons, gouvernail,...), ni aucun poste de pilotage (cabine, nacelle,...), pas même d'éléments de propulsion (hélices, tuyères,...). On ne percoit pas non plus de câbles pouvant relier le "supposé" aérostat avec le sol. Rien qui ne puisse permettre son guidage dans le ciel.
Autre chose : quand le phénomène se déplace d'un coté à l'autre, il ne fait aucune rotation sur lui-même, ce qui devrait être le cas avec un dirigeable par exemple.
Il faut noter aussi quelques détails qui permettent d'écarter l'hypothèse d'un dirigeable :
- La forme du phénomène est différente de celle d'un dirigeable.
- Aucune inscription, comme par exemple le numéro d'identification de l'aérostat, la marque du constructeur, une publicité, ...etc
- Aucune ombre, chose que l'on devrait normalement voir sur de tels engins (voir photo du dirigeable ci-dessus). La luminosité du phénomène est totalement uniforme, ce qui nous laisse penser que c'est ce dernier qui émets cette lumière et donc que ce n'est pas le résultat d'une réflexion ( soleil, projecteur,...).
L'hypothèse d'un authentique OVNI :
Il faut avouer qu'après avoir visionné plusieurs dizaines de fois cette vidéo, après avoir pris le soin de repérer tout les détails importants pour l'analyse, il est impossible d'expliquer rationnellement ce phénomène. Pour l'instant, il reste considéré comme non-identifié.
Voir la page avec les images :
http://www.studiovni.com/vidbeij.htm
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Mais ça me parait extremement difficile, pour ne pas dire impossible, pour plusieurs raisons.
Premièrement, à quelques moments, lorsque le cadreur zoome le plus sur l'objet, tous les points de tracking potentiels sont hors-champs. Donc inutilisables.
Ensuite, il y a parfois des problèmes de mise au point, quand le fond devient flou, les points de tracking ne sont plus utilisables, car comme je l'ai déjà signalé, l'analyse se fait sur le contraste de la zone de référence. Là, le module de tracking est dans le vent.
Dernière raison concernant le tracking, le changement de focale. Parfois le cadreur zoome en grand angle, laissant entrevoir une bonne partie des immeubles et même de la pièce dans laquelle il filme. L'amplitude entre la longue et la courte focale est très élevée. Et ça aussi, quand on fait du tracking, c'est une bête noire. Mais c'est en théorie possible, avec plusieurs points de référence. Dans ce cas, le module de tracking est capable de changer l'échelle de l'objet incrusté, en fonction de l'éloignement ou du rapprochement des trackers, faisant ainsi illusion: quand on zoome avant dans la scène, l'objet incrusté grossit,quand on zoome arrière il rétrécit. Sauf que les modules de tracking n'aiment pas trop ça, car la physionomie de la zone de référence change trop et l'analyseur décroche.
De plus, pendant ce zoome arrière, l'autocus "pédale" pour faire le point, donc avec en plus une image de référence floue, ce n'est pas pensable une seule seconde.
Concernant l'incrustation proprement dite, malgré la compression, c'est très propre.
Disons que si l'objet ne passait pas derrière les bâtiments, il n'y aurait pas trop de problème (quoique...). Ca serait uniquement un calque supplémentaire qu'on rajouterait sur l'image. Mais il passe derrière les bâtiments!
Il faut donc utiliser une technique qu'on appelle "keying" dans le jargon. Elle consiste à supprimer une couleur (ou plutôt une plage de couleur, vu qu'il y a toujours des variations mêmes dans le meilleur des cas à cause du bruit de fond des capteurs de la caméra), ou pour être plus exact la rendre transparente. C'est ce que tout le monde connait avec les célèbres fonds bleus ou verts. En fait, on utilise ces fonds avec des couleurs très saturées parce qu'elles n'existent pour ainsi dire pas dans la nature. De plus, ces deux couleurs réagissent bien avec les capteurs CCD des caméras. On n'utilise par contre jamais de rouge qui a tendance à trop saturer les capteurs. Le fond rouge rognerait sur le sujet.
J'en profite pour ouvrir une parenthèse: c'est ce phénomène qui se produit autour de l'Ovni (surtout dans les pixels juste au-dessous). L'Ovni est "cramé" c'est-à-dire qu'il n'y a plus de détails: les photosites sont saturés. Je ne vais pas rentrer dans des détails trop techniques, mais les photosites qui sont saturés ont tendance à communiquer leur état à leurs voisins et les couleurs "bavent". Et vu que ce phénomène est plus sensibles avec les photosites rouges (l'Ovni n'est évidemment pas rouge, il est blanc mais la lumière blanche est composée des trois couleurs primaires en proportion à peu près équivalente), cela donne une teint chaude au phénomène alors que la tonalité globale de l'image est froide. Ce phénomène est, une fois de plus, quasi-impossible à imiter de façon réaliste. Je referme la parenthèse.
Dans ce cas, pour incruster l'Ovni, il aurait donc fallu effectuer cette opération de keying sur le ciel. Mais là encore, il y a plusieurs problèmes à l'utilisation de cette technique.
Comme vous pouvez le remarquer, la scène a été prise au potron-minet (point du jour NdMCo) et la couleur du ciel n'est vraiment pas idéale par rapport aux autres éléments que l'on voit dans la scène. De plus il change beaucoup entre le début et la fin du film. Bon, ce n'est pas rédhibitoire, ça peut se contourner, mais on aura jamais un résultat parfait avec ces conditions de prise de vue.
Plus ennuyeux : l'ovni passe derrière les fils électriques. Les câbles, c'est la bête noire de l'incrustation : dès qu'ils sont un peu lointains, ils se traduisent par une nuance de bleu plus foncée, mais on ne voit plus exactement un câble noir. Bien souvent ces nuances de bleu sont prise en compte dans les couleurs que l'on doit effacer. Si on ne veut pas, il faut baisser la tolérance par rapport à la couleur de référence. Ainsi le câble redevient visible, mais quand l'objet que l'on incruste passe derrière, des artefacts apparaissent à tous les coups.
Quand l'objet passe derrière un batiment, c'est moins difficile à faire que derrière un cable, mais là encore l'effet est parfait!
Parce que, cerise sur le gateau, l'objet émet de la lumière et il se produit un léger phénomène de diffraction de la lumière au moment ou l'objet passe derrière un câble ou un des immeubles (l'OVNI "rogne" très légèrement sur le bâtiment ; et pour les câble, un léger décalage apparait sur la portion qui est superposée à l'Ovni). Laissez-moi vous dire qu'avoir une incrustation correcte sur ce film de camescope relève de la gageure, alors simuler ces effets physiques à peine perceptibles avec une telle perfection me parait impensable.
Sinon, il n'y a rien à redire, tous les problèmes de point sont parfaitement corrélés entre les différents éléments de l'image et l'Ovni, il n'y a aucun décalage.
De plus, le flou est de même nature. Je m'explique : en informatique quand on "floute" une image, on utilise le plus souvent un flou dit "gaussien". qui donne quelque chose de très propre, un flou "parfait". Or le flou que l'on peut avoir lorsqu'on ne fait pas bien la mise au point n'est pas aussi propre. Il dépend surtout de la qualité de l'objectif et du diaphragme. Autrement dit ce n'est pas un très beau flou sur la plupart des camescopes destinés au grand public. Or le flou sur l'Ovni n'est pas rajouté, il est de même nature que celui qu'il y a sur le reste de l'image.
Quand l'objet émet de la lumière, il se produit également un phénomène de "lens flare" (reflet parasite), plus ou moins visibles et on peut même en déduire le nombre de lamelles du diaphragme ! Dans ce cas l'objet est luminescent mais pas assez pour provoquer un lens flare (les optiques sont de plus en plus traitées pour éviter ces réflexions parasites), je peux juste dire que le flou est de même nature, ce qui n'est déjà pas mal.
Enfin ultime point à analyser : le flou de bougé.
Quand le cadreur fait trembler sa caméra, il se passe un phénomène de flou directionnel dû à ce que l'on appelle la rémanence. C'est un phénomène analogue à la persistence rétinienne de l'oeil, qui fait qu'un objet se déplaçant rapidement dans l'image semble se déformer selon sa trajectoire. Cela donne un effet d'étirement assez caractéristique. Lorsque la caméra bouge, si l'on regarde image par image, on se rend compte que là aussi la rémanence de l'objet est parfaite par rapport au reste de l'image. Que ce soit au niveau de la direction, du timing ou de l'intensité, c'est nickel-chrome !
Enfin, on voit apparaitre les trames dans les parties du film les plus floues. C'est à dire qu'un film vidéo est composée de 25 images par seconde (pour système Pal/Sécam) ou plutot de 50 trames entrelacées par seconde. Donc une image égale deux trames. La première trame va concerner les lignes impaires de l'image, la deuxième les lignes paires. Ces deux trames vont constituer une image. Lorsqu'on capture un signal vidéo sur un ordinateur chaque image sera composée de ces deux trames entrelacées. Si, entre la capture des lignes paires et impaire l'objet se déplace, alors en faisant un simple arret sur image, on voit les lignes se dessiner sur les pourtours des objets en mouvement. Cet effet est faisable, mais à quel prix, et avec quelle qualité...
Une fois de plus, c'est TROP parfait pour un travail de compositing.
Quand on met bout à bout tous ces éléments, je peux vous assurer qu'il n'est pas possible qu'à un moment ou à un autre il n'y ait pas une faille pour l'oeil d'un spécialiste.
Je me réserve 0,1% de chance que ce soit l'oeuvre d'une équipe de graphiste de génie (on ne sait jamais, peut-être que les gars de chez ILM - la société mondialement connue d'effets spéciaux de Georges Lucas - s'ennuient le week-end et qu'ils se distraient en faisant de faux ovni !)
Sinon, en mon âme et conscience, ce film n'est pas truqué : l'objet que l'on voit dans le ciel existe.
Quand à l'interprétation, c'est une toute autre histoire...
Cette analyse a été postée le 30 août 2003 sur le forum de l'association "Don Quichotte" :
http://www.don-quichotte.org/
Et son auteur nous a aimablement autorisé à la reproduire ici.
Mise à jour du 27 août 2006
Le 16 juillet dernier, "johnnysaucer" a levé le mystère sur une vidéo qu'il avait publié sur le site "YouTube" (hébergement de vidéos) la veille. En effet, sur sa première vidéo on pouvait voir un objet lumineux survoler une ville, annoncée comme étant celle de New-York, puis disparaître derrière un immeuble. Le lendemain, "johnnysaucer" a publié sa vidéo dans son intégralité, c'est-à-dire avec les dernières secondes au cours desquelles il zoom suffisamment pour nous permettre d'identifier clairement un dirigeable faisant de la publicité pour Sanyo.
Il faut reconnaître que cet engin présente un aspect très comparable à notre "soucoupe pékinoise". Il est vraiment dommage que sur la vidéo asiatique le cameraman n'ait pas zoomé autant que sur cette dernière vidéo. C'est peut être volontaire diront certains !
Je ne voudrais pas donner l'impression de défendre jusqu'au bout la "vidéo de Beijing", mais je ne peux m'empêcher de faire deux remarques. Premièrement, les performances des camescopes ont beaucoup évoluées. Que la vidéo de Beijing date de 1995 comme l'indique le DVD "Ultimate UFO - The Complete Evidence", ou de 1998 comme le pense Gildas Bourdais, les capteurs sont devenus de plus en plus performants ces dernières années. Il faut absolument tenir compte de ces différences si l'on veut comparer objectivement ces deux films.
Deuxièmement, il y a un élément que l'on pourrait facilement considérer comme secondaire et qui pourtant à son importance. Sur la vidéo américaine il fait déjà bien nuit, alors que sur la première il fait encore jour. La différence de luminosité apparente est donc très grande, surtout pour un capteur de camescope. En décembre 2003 il avait été longuement discuté de cette vidéo sur l'ancienne liste Aleph et au passage sur "UFO Updates", et l'hypothèse d'un dirigeable ou d'un ballon tracté qui aurait des projecteurs embarqués à l'intérieur de son enveloppe avait été envisagée. Robert Alessandri avait calculé la quantité de projecteur que l'on pouvait estimer nécessaire pour produire cette quantité de lumière et l'hypothèse ne tenait plus, surtout pour une vidéo d'une telle durée (dans le cas où l'on envisage un mini-dirigeable télécommandé équipé de batteries pour alimenter les ampoules). C'est en fait cette luminosité propre, à Beijing, qui fait faillir les plus sceptiques (un Eric Maillot ne s'avouera jamais vaincu, mais il cessera tout simplement la discussion).
Enfin, et plus anecdotiquement, sur la video de Beijing l'objet fait de drôles de mouvements entre la deuxième minute et la troisième. Je plains l'équipage s'il s'agit réellement d'un dirigeable. En examinant attentivement les immeubles présents à l'image on peut constater que l'objet est lointain et donc d'assez grande taille. Il y a peu de chances qu'il s'agisse d'un dirigeable miniature.
Je ne souhaite pas convaincre quiconque de quoi que ce soit, c'est à chacun de se faire sa propre opinion. Je veux juste donner tous les éléments à ma disposition et engager chacun à éviter les conclusions hâtives.
Vous pouvez voir la vidéo de "johnnysaucer" directement sur le site "YouTube" en cliquant sur ce lien, ou la télécharger ici au format Xvid (~1Mo).
Pour finir, cette page ne saurait être complète sans vous donner accès à la vidéo de "l'ovni de Stuttgart". On peut en effet aussi trouver de fortes ressemblances avec cet objet filmé à la nuit tombée en mai 1993. Je ferais les mêmes remarques que pour la vidéo américaine : il y a une grande différence de luminosité entre ses objets et celui de Pékin, surtout en considérant que le jour n'est pas tout à fait couché ou levé sur la première vidéo.
L'ovni de Stuttgart, Xvid ~12Mo.
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