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KERIZINEN, juillet 2003

Un peu avant de partir en vacances dans ma famille bretonne, au début de cet été 2003, je me demandais ce que j'allais faire pendant ces quatre longues semaines loin de mon domicile et de mes habitudes.


Prévoyant quelques journées d'inoccupation, je choisissais quelques livres qu'il me restait à lire et tombais sur ce "Guide vert de l'au-delà", que je n'avais fait que parcourir quelques semaines plus tôt. Quelle bonne idée ! Ce livre est un classement par villes et régions des contes et légendes de la France profonde. L'ennui, c'est que les phénomènes étranges y sont triés par ordre alphabétique de ville, parfois de lieu-dit. Il faut donc parcourir l'ouvrage en entier pour relever toutes les pages concernant la région visitée. Et là, parmi quelques Dames blanches et lutins, une Vierge, une authentique Sainte Vierge, comme à Lourdes. Je ne m'étais jamais douté qu'à quelques kilomètres de ma ville de naissance, s'était élevé une sorte de "Lourdes breton". La période des apparitions étant très longue, de 1938 à 1965, et le nombre de celles-ci bravant des records, je ne pouvais manquer d'interroger quelques témoins, ou en tout cas de bénéficier de la relative fraîcheur du cas. Je décidais d'aller directement à Kerizinen, sans a priori, seulement habité de ma curiosité et surtout du frisson de peut-être découvrir une part de surnaturel.


Eté 1939. Les français sont confiants, la ligne Maginot suffira à protéger le pays. L'alliance franco-anglaise est si forte, que l'Allemagne ne pourra pas envahir grand chose. Mais fin août, c'est le coup de massue : l'URSS et l'Allemagne signent un pacte de non-agression. Le deux septembre la France déclare la guerre, la "drôle de guerre" commence. Des combats légers et épisodiques laissent penser aux français qu'elle ne durera que quelques mois. La Vierge dit qu'elle cessera à la mi-octobre 1940 si les fidèles sont suffisamment fervents. Le 11 juin 1940 l'armistice est signée et la France coupée en deux. Le 24 octobre 1940, Pétain sert la main d'Hitler et signe les accords économiques, militaires et politiques de la collaboration avec l'Allemagne. Mi-octobre la guerre est donc bel et bien terminée pour la France, mais peut être pas de la façon dont pouvaient l'espérer Jeanne-Louise et son confesseur.

Pourquoi Jeanne-Louise aurait-elle inventé cette date de la mi-octobre ? Curieux hasard, ou simple coïncidence ?

Automne 1938, la Vierge se montre à Jeanne-Louise et la prévient qu'une grande guerre menace la France. Les français effectivement, depuis l'été 38, craignent une explosion de la situation. La guerre s'écarte de quelques mois, mais un an plus tard elle éclate brutalement. Le 7 octobre 1939, environ un mois après l'entrée en guerre de la France, la Vierge revient comme annoncé : "Tu me verras différentes fois dans les années à venir". Elle prévient alors que la paix est pour bientôt, si suffisamment de ferveur pratiquante est démontrée. Le 7 décembre, elle réapparaît pour annoncer une "année de paix", une victoire rapide, et promet que si l'on prie et se sacrifie comme il faut, la guerre prendra fin à la mi-octobre.

Le 2 avril 1940, plus menaçante, la Vierge annonce le châtiment dû au manque de prière. Beaucoup de prisonniers, dont plusieurs mourront en territoire ennemi, où le sang innocent coulera par la suite. "La guerre sera dure et longue, si l'on ne prête pas garde aux messages que Je vous ai apportés." Mai 1940, l'invasion du pays par les allemands est annoncée. En effet, l'armée française est vaincue entre le 15 mai et le 15 juin.

Le jour de la fête du Très Saint Rosaire, une semaine avant la mi-octobre, la Vierge demande à être invoquée et honorée à Kerizinen, en tant que "Notre Dame du Très Saint Rosaire". Deux semaines plus tard, les accords instituant le régime de collaboration sont signés à Montoire. La Vierge ne fait plus de commentaire jusqu'en 1942, ou en tout cas sa confesseuse n'en fait plus état.

Jeanne-Louise paraît suivre l'opinion publique générale, la rumeur, mais en avril 1940 les français n'imaginaient pas les futurs camps de prisonniers en Allemagne, et l'on ne savait pas trop que penser de cette guerre presque sans combat. Début mai 1940, les français sont toujours loin d'imaginer leur totale débâcle un mois plus tard. Il est dommage que l'apparition de mai 1940 ne soit pas datée au jour près, l'assaut allemand ayant commencé mi-mai. Mais même fin mai, les français ne croyaient pas leur fin si proche.

Kerizinen est assez difficile à localiser, il faut une bonne carte. En tout cas je savais que c'était du coté de Lanhouarneau dans le Léon, province du Finistère. Il me suffisait de me rendre là-bas, et éventuellement de demander ma route à un passant sur la place de l'église. Lanhouarneau, au mois d'août, c'est quand même un peu désert... Par contre, sur la place de l'église il y avait bien un plan touristique du coin et Kerizinen n'était plus si difficile à trouver. Passer à gauche derrière l'église, puis, presque à travers champs, deuxième à droite, première à gauche, et au bout d'un moment, au-delà d'un grand champ de blé, au milieu de nulle part, une grande église qui apparaît, entourée de quelques arbres et de quelques maisons.

 
N'ayant pas passé le porche de la moindre chapelle depuis presque une dizaine d'années, je décidais de suivre directement le petit panneau "source" et d'aller voir la fameuse "pompe Japy" dont on m'avait parlé. Effectivement, tout au fond, derrière l'oratoire, après les arbres, un petit escalier et une source, jaillissant par quelques robinets tout à fait classiques. Je restais là quelques instant, l'ombre des chênes me protégeant du soleil de plomb, à me demander si j'allais oser ou non appuyer sur l'un de ces robinets et transgresser quelque peu mes a priori philosophiques. Mais même à travers les arbres, l'ombre n'était pas suffisante et il fallait de toutes façons que je me rafraîchisse. Après tout, qu'est-ce que je risquais à prendre un peu de cette eau ?

Le lieu étant pour l'instant assez peu connu, la tranquillité y est bien plus grande qu'à d'autres endroits choisis par la Vierge pour nous envoyer ses messages. Mais quelques visiteurs passent tout au long de la journée, remplir des bouteilles et même des bidons, et faire un petit salut à Marie en passant. Le calme, la sérénité des lieux, mettent en confiance et j'interroge quelques visiteurs. Alors on m'apprend qu'ici, ce qui est important, c'est le contenu des messages. C'est de voir que ces messages remettent en cause et demandent à faire évoluer le dogme dicté par l'Eglise. Ces messages sont aussi des menaces directes à notre encontre si nous continuons à nous éloigner de Dieu de la sorte, et de toute spiritualité. J'apprends aussi que Kerizinen c'est un grand nombre de guérisons, inexpliquées ou inexplicables, quelques fois attestées, en tout cas un épais dossier. Ce que j'appelle l'église et qui surplombe la source est en fait un oratoire, qu'on ne peut pas le déclarer église car aucune messe n'y est jamais célébrée ni aucune communion donnée, l'Eglise ayant interdit les pratiques religieuses sur le lieu. Mais que ces interdits de l'Eglise ne remettent pas Kerizinen réellement en cause, et sont bien plus le fait d'une gène à devoir modifier la vision du Christ, de la Vierge et de l'Eucharistie. Pour quelqu'un qui n'a pas été au catéchisme depuis une bonne vingtaine d'années, l'histoire se complique un peu. Mais bon... je décide d'aller visiter cet "oratoire", bâtiment représentatif des années 70, donc pas très beau.
   

A l'intérieur de ce grand bâtiment, sous une arche faisant penser à une coque de bateau renversée, se trouve le petit oratoire des années 50. L'ensemble est une vision suffisamment étrange et la lumière filtrant à travers les vitraux étant si chaleureuse, que dans mon esprit le monde extérieur s'efface immédiatement. J'ose à peine m'approcher du petit bâtiment central. Je préfère en faire lentement le tour, lisant quelques panneaux au passage, observant le trajet des fidèles, qui vont et viennent, se recueillent ou parfois discutent entre eux, à mots couverts. Dans cette église qui n'en est pas une, aucun autel. En lieu et place, au fond, derrière le petit oratoire de 1956, une grande statue en bois africain, du Christ et sa mère, à échelle réelle, posée dans les airs, tels qu'ils apparurent à Jeanne-Louise. Le souci esthétique de l'artiste sculpteur, et sans doute cette image de leurs deux coeurs reliés, poussent à la méditation. Ce n'est pas l'habituel crucifix que l'on voit au fond de toutes les églises, ce n'est pas l'habituelle statue de la Vierge qu'on voit, c'est une statue différente, jamais vue. Et le cerveau se met à travailler. Alors, en toute confiance, j'entre dans le petit oratoire et y découvre cette fois la façon dont les choses étaient représentées il y a 50 ans. Des béquilles sur les murs, de petites chaussures médicales, un crucifix standard, une statue du Christ presque normale, surtout pour un non pratiquant comme moi : on ne remarquerait presque pas son coeur qui saigne des outrages de l'humanité. Et la Vierge, posée au dessus de cette petite guérite en verre qui abrita les premiers ex-voto. Les plaques de remerciements couvrent les murs du petit oratoire, et ont même commencé à envahir l'extérieur. Me retournant pour sortir, cette fois par la grande porte, je reste béat devant l'immense vitrail représentant cette nouvelle image dogmatique des coeurs unis de la Vierge et du Christ. C'est le message principal de Kerizinen, pour les catholiques.

Entre le grand parking prévu pour les jours de pèlerinage et l'oratoire, se trouve la petite maison de la voyante, et un bâtiment plus récent utilisé par l'association des amis de Kerizinen. Je décide alors d'acheter le livret des messages, à un tarif très modique. Ici, ce n'est pas le commerce qui compte. Très peu d'objets sont proposés aux visiteurs. Je m'excuse platement auprès de la vieille dame chargée de la caisse à qui je fais presque manquer le début de la messe de Lesneven et repars avec mon livret et deux ou trois cartes postales, heureux d'avoir enfin une nouvelle lecture à disposition.

Mon besoin de ressentir plus fidèlement les impressions des français pendant cette période m'a fait rechercher des témoignages directs. A mon retour de vacances, j'ai découvert que beaucoup de personnes déposent leurs journaux intimes sur Internet et ce fut pour moi une grande source de plaisir et de compassion que de partager quelques instants de vie avec ces illustres quidams. Tel jeune de 16 ans resté au village puisque trop jeune lors de la mobilisation et qui raconte l'angoisse montante à l'écoute des nouvelles ; puis le scepticisme de plus en plus grand à l'égard des bonnes paroles du gouvernement. Tel autre, enrôlé lui à la frontière, dans les Ardennes, et qui s'amuse bien avec ses camarades tout en surveillant les allemands à quelques centaines de mètres, pendant des mois avant que la tourmente ne se déchaîne. Ou encore tel autre, qui s'évade et traverse la France occupée pour retrouver sa jeune épouse. Comme certains le disent, leurs vies sont de vrais romans. La collecte de leurs sentiments confirma parfaitement cette impression qui naissait dans mon esprit. Au mois d'avril, la Vierge ne pouvait pas "prévoir" qu'il y aurait 1 500 000 prisonniers. Si des doutes peuvent se fonder facilement, du fait de l'imprécision de la date pour l'apparition de mai et l'annonce de l'invasion ennemie, on ne peut pas pour autant expliquer si facilement la sentence d'avril. Alors, cela peut rester un curieux hasard, comme la prophétie concernant la mi-octobre 1940. Il est d'ailleurs intéressant de constater que cette prophétie de fin de la guerre se réalise quand bien même la mention faite en mai d'une guerre longue et dure. Jeanne-Louise ne posera même pas la question de cette contradiction à son interlocutrice.

Le 11 juin 1940, le "Petit Parisien", journal populaire, devient très difficile à se procurer. Pris dans la tourmente le journal suit le gouvernement à Troies puis à Rennes, pour finalement être à nouveau correctement distribué début juillet. Les français continuent d'être informés : par la radio et quelques autres journaux, mais surtout par la rumeur publique. En Bretagne, la guerre est loin, très loin. L'attaque de la Belgique, le 10 mai, a secoué tous les esprits, mais jusqu'en début juin, les pensées rassurantes circulaient toujours. Le dernier quart d'heure des nazis n'avait-il pas sonné d'après le Général Weyand dans son communiqué du 9 juin ? Les allemands occupaient très rapidement un pays, une fois les défenses frontalières percées. Quelques éclaireurs approchaient en side-car des grandes villes pour en jauger la défense, et dès le lendemain un convoi débarquait et s'installait aux commandes de la ville. Une semaine plus tard, l'armée allemande pavanait dans les rues, fière et robuste. Le 24 juin, la France est tellement occupée par l'ennemi qu'elle dépose les armes. Le président du Conseil démissionne, laissant le pouvoir à Pétain, celui-ci ayant carte blanche à l'unanimité de la Chambre des Députés à la mi-juillet. Mais les premiers mois qui suivent l'armistice sont les plus terribles de cette première année de guerre. Un nombre insensé de prisonniers est fait pendant que les nazis se livrent à un pillage en règle du pays. La terreur s'installe jusqu'à ce que le gouvernement accepte les conditions de la collaboration. Après octobre 1940, c'est une autre guerre qui commence, ou peut être une "paix avec le diable".

Au Sud, la France dite libre met en place une "révolution" des esprits et des lois. Au Nord, c'est l'occupation totale, et l'annexion en marche pour les territoires les plus proches des frontières. Cette zone Nord était elle même découpée en une zone devant devenir allemande rapidement et une autre, plus intermédiaire, qui servirait de fournisseur gratuit, de colonie en quelques sortes. La Bretagne faisait partie de cette seconde zone. Kerizinen était une simple ferme, à sept kilomètres de Plounevez-Lochrist, bourg principal occupé par les allemands. Des gens du Nord se réfugiaient en Bretagne et étaient affectés au travail dans les fermes. Ils témoignent que la vie y était plus "douce" qu'à Paris, où les tickets de rationnement ne suffisaient jamais. Au moins dans les fermes les gens étaient bien soignés. Pendant toute cette période de l'occupation, la France n'était donc plus en guerre, mais la majorité des français n'en souffraient pas moins. L'on peut aussi ne pas s'accrocher à la date de la mi-octobre et simplement penser que les demandes de la Vierge n'ayant pas été satisfaites, celle-ci reportait sine die sa protection. C'est d'ailleurs ce que l'on peut comprendre si l'on s'en tient à ses messages.

   
15 septembre 1938
"N'aie aucune crainte. Je ne te veux aucun mal. Tu me verras différentes fois dans les années à venir, et là, Je te dirai qui je suis et ce que Je demande.
Une nouvelle guerre menace l'Europe. Je l'éloignerai de quelques mois car je ne puis rester sourde à tant de prières qui, en ce moment, s'élèvent vers moi là-bas à Lourdes, pour la paix."

7 octobre 1939
"Le Monde ne cesse d'offenser Dieu par de très lourds péchés, surtout des péchés d'impureté, d'où cette guerre en châtiment de tant de fautes. Mais le Ciel n'est pas insensible à tant de misères et vient vous donner un moyen de salut. La paix, vous l'aurez sous peu si vous savez l'acquérir, mais il faut pour cela que le peuple mène une vie de prières, de sacrifices, de pénitence, que surtout, très souvent, l'on groupe les enfants pour prier, pour réciter le chapelet suivi du "Parce Domine" pour les pécheurs. Parles-en à ton Directeur et qu'il fasse publier ce message. Je donnerai à ses paroles une force surnaturelle qui touchera les cœurs.
Toi-même, continue chaque jour la récitation de ton Rosaire, mais applique-toi davantage dans la méditation des mystères car, sache-le bien, le Rosaire sans mystères est comme un corps sans âme."

7 décembre 1939
"Redoublez de ferveur dans vos prières et vos sacrifices à l'approche de ce temps de Noël et Jésus vous apportera une année de paix comme vous le désirez tous. Armez-vous donc de la prière, du sacrifice tandis que vos soldats se servent d'armes matérielles. Il faut cela pour une victoire rapide. Si l'on écoute mes demandes, la guerre prendra fin vers la mi-octobre 1940."

2 avril 1940
"Les prières se font beaucoup moins nombreuses que les premiers mois de la guerre. Cette négligence, vous la subirez tous, mais principalement vos soldats. Il yen aura beaucoup de prisonniers, plusieurs mourront de privations et de misère sur le sol ennemi et par la suite, que de sang innocent y coulera ! La guerre sera dure et longue si l'on ne prête garde aux messages que Je vous ai apportés."

Mai 1940
"Enfants de France, bientôt sonneront pour vous des heures graves : le danger qui vous menace c'est l'invasion de votre pays par l'ennemi ; mais J'interviendrai à temps si tous, plus unis que jamais, crient leur espoir à Celui qui seul peut tout, à Celui qui tient le monde dans ses mains et au pouvoir de qui se tient, avec le sort des peuples, l'esprit et la volonté de leurs chefs, si tous joignent leurs prières pour que le Dieu de Miséricorde hâte, d'un geste tout puissant, la fin de cette malheureuse tempête.
A cause de ces apparitions, tu auras beaucoup à souffrir. Plusieurs douteront de toi, mais tu trouveras sur ton chemin des amis pour te comprendre, te guider et même te suivre ; mais tu peux beaucoup pour les pécheurs par tes souffrances et tes peines acceptées avec résignation et sans murmure. Tu as dans ta paroisse un prêtre, grand et fidèle serviteur de Dieu, homme humble et détaché de la nature."

7 octobre 1940
"Je suis la Mère du Christ, ce Christ si aimé dans ta paroisse. Je désire être honorée et invoquée en ce lieu sous le nom de NOTRE-DAME DU TRÈS SAINT ROSAIRE."

Jeanne-Louise ne déclare plus rien jusqu'en 1942. Sans doute risquait-elle gros à laisser circuler les éventuels messages de la Vierge. Son existence ne fut connue qu'en 1947, mais un prêtre seul ou même un simple carnet de notes dans sa cuisine pouvaient générer un risque important. Même si la majorité des français n'a pu connaître le discours de De Gaulle qu'après plusieurs semaines de bouche à oreille, la résistance s'installe rapidement, souvent d'ailleurs sous l'impulsion d'allemands eux-mêmes rebelles au régime. Vols, rapineries, destruction de matériel parfois, tout est bon pour nuire à l'envahisseur mais en toute discrétion. Cette résistance n'aboutira à une véritable armée souterraine que quelques années plus tard.



En conclusion, pour moi les messages de 1938, 39 et 40 présentent un fort caractère d'authenticité. En tout cas, cela fait beaucoup de coïncidences en peu de temps, et ce sans aucune recherche de publicité puisque l'affaire ne sera publique qu'en 1947. La Vierge ayant sans doute décidé que cet anonymat lui portait préjudice, elle fit entendre la confession de Jeanne-Louise par une fillette qui la rapporta au village le dimanche 5 octobre 1947. Chacun peut à présent, s'il le souhaite, continuer l'étude des messages disponibles en intégralité sur le site internet de Kerizinen, et faire ses propres recherches afin de juger par lui même de la sincérité de Jeanne-Louise Ramonet.



Références :








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